Par attrait et  parce que la douce folie des planches l’attire, elle suit pendant 10 ans un atelier d’un groupe amateur dirigé par des comédiens professionnels de Bordeaux dans le cadre du théâtre en Miettes. Tels Laure Dupuy, Cyril Amiot, Aurélie Girveau.  Elle joue dans conte d’une nuit d’été, la maison de Bernarda Alba, Transport de femme, les dix petits nègres… Une formation non classique qui lui révèle son potentiel de jeu et ses idées  de mise en scène. Sa créativité l’amène à monter des spectacles pour enfants et à transmettre son savoir faire et être, dans des ateliers pour enfants, pour ados et pour adultes. Aujourd’hui, elle anime plusieurs ateliers théâtre. Curieuse et avide d’apprendre toujours plus, elle se forme au mime auprès de Jean-Bernard Laclotte (Ecole mime Marceau) et aux jeux de verbe, de  masques et de clowns  avec Jérôme Huguet (Comédie française). A également, fait un stage sur les petits personnages avec David Ponce, Cie la nuit venue et un autre sur le jeu corporel avec Christian Sebille. Actuellement, elle  créée dans l’ Horrible  Compagnie. Elle Fait aussi partie de la Cie C’est Pas Pire Que Mieux qui se sont mutualisées avec l’association « Y’en a Mare » et joue 2 comédies avec la compagnie Regards de 2 mains. On ne l’arrête plus, elle s’ouvre, aujourd’hui à l’audio-visuel en tant que figurante et actrice…

Après des études théâtrales universitaires à Bordeaux, Sandra décroche un rôle dans une pièce interactive pour enfants à la Comédie Gallien à Bordeaux. Elle sera Emilie et la marchande dans « Gégé le petit voleur de jouets ». C’est dans ce même
théâtre qu’elle jouera dans 5 autres pièces pour enfants. De projets en projets, elle jouera au Théâtre de poche à Nantes et à la Comédie Gallien dans des comédie adultes : « Les globes trotteuses » d’Alain Jung, « Salade de nuit » de Christian Dob, « Mangeuses d’hommes » de Daniel Colas, « Brouillon de culture », écriture collective. Elle fait partie de la Compagnie Millésime de Libourne depuis 2016 pour qui elle joue le rôle de Marie de Gournay le Jars dans « Parce que c’était lui, parce que c’était moi » de Robert Poudérou ; ainsi que la dame en violet dans « Knock » de Jules Romain. Parallèlement aux
planches de théâtre, elle fait différentes figurations dans des téléfilms à Bordeaux pour Arte, M6 et France 3. Sandra donne des cours de théâtre à des enfants et adolescents dans une école de loisirs de Carignan, après avoir enseigné à l’école municipale de théâtre de Villenave d’Ornon en 2014. Elle est
également maître de jeu à « Échappe-toi » à Bordeaux.

Laëtitia fait ses premiers pas sur scène grâce à l’atelier théâtre de la MJC de Mérignac, animé par Thierry Rémi (Cie les Labyrinthes), et goûte aux joies du théâtre absurde dans des pièces comme « Théâtre sans animaux » de Jean-Michel Ribes. Plus tard, elle intègre l’atelier de la compagnie du Rat Bleu, dirigé par Clémence Paquier, et jouera dans « Funérailles
d’hiver » d’Hanokh Levin, « Le spectateur condamné à mort » de Matéi Visniec, ou encore « Je crois pas si c’est bien », une création collective. Elle intègre en 2017 la troupe du Kokomo Project, et joue dans « La Brigade », une création d’Elsa Frémy. La troupe travaille actuellement sur une nouvelle
création autour de la Télévision, mêlant questions existentielles et absurdités. Laëtitia a toujours dansé : du hip-hop, du new style, de la salsa. Depuis 2015, elle pratique le modern jazz à l’école de Nane Delpech. Elle a aussi expérimenté la comédie musicale au sein de l’association Broadway Dance Factory. Depuis
novembre 2018, Laëtitia se consacre pleinement au métier de comédienne, et a troqué son poste de graphiste contre une formation d’acteur de l’école des 3M à Bordeaux. Elle a pu en parallèle participer à des courts-métrages via l’association Kino Session, ainsi qu’à des tournages étudiants.

Elle écume les planches depuis 20 ans. Elle s’est formée à l’Université des Arts du Spectacle, ainsi qu’avec Luc Faugère. Sa pratique théâtrale traverse le conteur, le bouffon en passant par le clown. Elle est également directrice d’acteurs. Elle a travaillé avec les compagnies Akasha Théâtre, Apsaras, Enchantier Théâtre et a fait partie du collectif d’acteurs du Studio Théâtre 71. Depuis 2013, elle fait partie de la direction artistique de La Tendresse du Gravier. Formations Complémentaires avec : Éric Blouet, Alexandre Pavlata, Cédric Paga, Philippe Gaulier, Georges Bigot, Jean-Marie Broucaret, Guy Labadens.

Elle a toujours aimé se mettre en scène, et a découvert à 12 ans qu’on pouvait même apprendre à le faire, et que ça s’appelait le théâtre. Elle est accro depuis ce jour et se plaît à interpréter tout personnage qui lui passe sous la main.

Elle fait partie de la Troupe de l’Embuscade et de l’Horrible Compagnie, qui lui permettent de combler cet insatiable appétit de partager, créer, (se) découvrir et jouer.

Elle pratique l’escrime de spectacle, s’essaie à chanter devant public en plus de sous la douche, et compte bien faire en sorte que tout ça dure encore loooongtemps.

Fort peu académique, avec une belle liberté d’esprit, ce parcours commence bien avant les prémices d’études supérieures en Histoire de l’Art. L’aventure théâtrale prend racine dans l’enfance aux cours de catéchèse. Plus tard, son envol, dans les locaux des
milieux Anar’ dijonnais (!) à travers les ateliers dirigés par Richard Mazuer puis, ceux de Delmiro Iglésias, pour acquérir les rudiments du jeu masqué.
Le travail s’accomplit au sein de la compagnie Laï Laï dans les réseaux des festivals de Théâtre de Rue et ceux de l’éducation populaire de 1996 à 2011. Entre créations de spectacles et actions culturelles de territoires sous l’égide de l’association Couleurs &
Sons (21), l’écriture prend différentes formes mais reste omniprésente.

Ce parcours est ponctué de diverses collaborations avec, notamment, la compagnie Manie (21), la compagnie Opopop (21). Aujourd’hui, l’écriture est devenue centrale, entre journalisme et travaux rédactionnels.

Native de la région lyonnaise, Annie Morel-Pâris a été imprégnée d’un « cocon » fait de tissus et de passementeries.

C’est au travers de cet univers qu’est d’abord né son attrait pour les costumes.

De la construction d’un personnage pour un comédien, pour un récit/scénario reposant à priori sur quelque chose de logique, d’intellectuel se révèle ses pulsions, ses émotions, sa créativité artistique. C’est ainsi qu’elle enrichit ses personnages, et surtout leur donne de la chair.

Depuis quelques années, elle aime à triturer textiles et éléments de costumes pour en extraire une substance vivante, une fibre, un fil rouge, une parole féminine ancestrale, comme pour en découdre avec une écriture, un code ou un secret.